Felicity Wilson – De retour à la maison

Lorsque l’histoire prend vie, elle laisse une trace durable dans l’âme. Et c’est précisément ce qui s’est passé lorsque j’ai eu le privilège de prononcer un discours à l’occasion de l’ouverture du Musée de la libération de la Nouvelle-Zélande – Te Arawhata, à Le Quesnoy.

À mon arrivée, j’ai eu l’impression d’être à nouveau chez moi. Le charme pittoresque de la ville et l’accueil chaleureux de ses habitants ont créé une atmosphère d’unité et de reconnaissance, faisant de l’ouverture du musée une expérience véritablement poétique.

J’ai vu pour la première fois le bâtiment du musée à la fin de l’année 2022, lors de mon ENP. À l’époque, l’intérieur était dépouillé. Cette fois-ci, les murs du musée sont devenus vivants et profondément significatifs – pour honorer la mémoire de ceux qui ont fait le sacrifice ultime. Ces derniers temps, j’ai été captivée par le pouvoir de l’histoire et l’importance du souvenir, et j’ai été profondément émue par l’impact que le musée a eu sur moi.

On ne saurait trop insister sur l’importance de ce musée. Il rend un hommage poignant aux héros de notre passé, immortalisant leurs sacrifices pour les nombreuses générations futures qui, je le sais, arpenteront ses salles. Les récits, les photographies et l’atmosphère du musée ont le pouvoir unique de nous relier à notre passé et de nous rappeler l’importance d’honorer ceux qui nous ont précédés, comme mon arrière-grand-oncle Gladstone Wilson. Ils sont la véritable raison pour laquelle nous étions tous réunis pour l’ouverture officielle.

Cette journée a été l’aboutissement d’un travail acharné, d’un dévouement et d’un engagement commun à préserver la mémoire de ceux qui ont servi. J’exprime donc ma gratitude à chacun, qu’il s’agisse de la formidable équipe de Wētā Workshop, des historiens, des donateurs et, bien sûr, des bénévoles qui sont les rouages essentiels de la réussite d’un projet tel que celui-ci.

Chaque poignée de main, chaque accolade, chaque larme versée et chaque histoire racontée par toutes les personnes présentes sont restées gravées dans mon cœur. Cependant, l’achèvement de cette structure remarquable n’est pas la fin, mais le début d’un nouveau chapitre essentiel de la mission du musée. Il est désormais de notre responsabilité collective de veiller à ce que ce musée perdure et prospère pour les générations à venir. Nous devons être les gardiens de l’héritage qu’il représente, les gardiens des histoires qu’il raconte et les gardiens du souvenir.

Souvenons-nous, rendons hommage et travaillons ensemble dans ce nouveau chapitre pour garder l’histoire vivante.

He tangata, he tangata, he tangata. C’est le peuple, c’est le peuple, c’est le peuple.

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